ðš ðâðððððððð ð ð ðð ððððÚðð ððððððð ð ð ððððððð ð âðð ðððððððððððð ð ð ðâðšððððð ðððððððððð ð ð ððððððð ð ðð ð éððððð (ðšðŽð®ð¬ð«), ððð ððððððð ððððððððððð ððð ðððé ðð ððð ððð ð ð ððÚð ð ð ð ððð ðððð ðððððððð (ððð ððð ððð ðððð), ðððð ðð ðððððð ð ð ðâðððððððð ðððð.« Au lendemain de sa prise de fonction,  » ðð ððð§ðððð®ð«ð ððð¬ ðéðð¢ð¬  » a placée lâassainissement, pris sous tous ses angles, au cÅur des priorités de son action. Au nombre de ces angles, il y a bien sûr la gestion des déchets solides et liquides, qui nous réunit ce jour. Mais, il y a aussi le relÚvement des offres : en eau potable ; en énergie électrique ; en mobilité des populations, particuliÚrement dans le centre urbain⊠»Voilà ce qui peut être, de façon ramassée, retenu de lâintervention de ð±ðððððð ð²ððððð ð»ððððððð, maire de Dschang, lors des travaux quâil a présidés en matinée du jeudi 22 octobre 2020. Lâobjet de cette rencontre, qui sâest tenue en la salle des fêtes de sa mairie, a porté sur la sixiÚme session du conseil dâadministration de lâAMGeD, lâAgence municipale de gestion des déchets.Et les échanges ont gravité autour de deux grandes présentations. La premiÚre a porté sur le compte de gestion de lâexercice en cours dâachÚvement. Arrêté à moins de deux cent millions (187 089 906 Fcfa), il a été réalisé en recettes à prÚs de cent cinquante millions (143 140 222 Fcfa). Soit en valeur relative aux trois quarts (76,51%).Avec cette ressource financiÚre, lâéquipe de lâAMGeD a, entre autres, animé ses activités de collecte et dâenlÚvement, de traitement et de valorisation des déchets solides ménagers. TrÚs particuliÚrement, elle a pu « Optimiser les dépenses de la filiÚre déchets, dans le domaine de la collecte⊠»Lâautre axe fort de la journée de travail a porté, sur lâexamen du budget prévisionnel de lâexercice 2021. Equilibré en recettes et en dépenses à presque de deux cent millions (197 670 428 Fcfa), il est en augmentation de prÚs de vingt millions (17 580 523 Fcfa).Ce budget présage de la mise en Åuvre, à court terme, de la filiÚre assainissement liquide, à travers la collecte, le traitement et la valorisation des boues de vidange. Car, les études de faisabilité ont montré que lâAgence pouvait, à des coûts variant de trente mille (30 000 Fcfa) à cinquante mille (50 000 Fcfa), offrir des services comparables à ceux des prestataires venus de Bafoussam, pourtant trois fois plus chers.En sa qualité de tutelle, ð¬ðððð ðšð ððððð ðŸ, premier adjoint préfectoral, représentant ððšðð¥ð¢ð¯ð ðððšð€ð ððð®ð, préfet de la Menoua, empêché, a dit « Merci aux participants pour leurs contributions constructives, et plus particuliÚrement aux partenaires pour toute lâassistance, et les dons quâils ont offert à lâAMGeD⊠»Ces partenaires techniques et/ou financiers de lâAgence ont pour noms : Nantes Métropole, lâAgence française de développement (AFD), lâAssociation internationale des maires francophones (AIMF), ERA-Cameroun (Etude, recherche, action-Cameroun),le GRET, lâassociation Compostri de Nantes, les associations TOCKEM et CEPDEL, AR-VAL. Ce dernier partenaire technico-financier a offert la premiÚre unité de tri, et de traitement des déchets organiques, installée au Cameroun.Roch Kenfack
